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Le blog de Marie Chevalier

Le blog de Marie Chevalier

un blog pour mes écrits et pour y recevoir mes amis

Publié le par marie chevalier
Publié dans : #recueil de nouvelles

 

J'ai rassemblé  toutes mes nouvelles,. environ 200, qui représentent dans quatre tomes de  500 à 600 pages chacun. 

ils sont en reliure cartonnés et  sont visibles sur  ma  page d'auteur à Lulu.com

http://www.lulu.com/spotlight/marieded

 

Je vous  mets les  photos, sachant que tout est artisanal et je demande donc votre  indulgence  

 

tome 1 bistome2 bis

 

tome3 bistome 4 bis

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Publié le par marie chevalier
Publié dans : #défis croqueurs de mots

Défi n° 113 (croqueurs de mots)

"   Par le bout du nez  "

Laissez vous mener.....en partant d'ici :

" Le nez...."

Ecrivez la suite ... sans vous enrhumer !

 

Le nez au vent

 

Le nez au vent,

Mon chien sentait les herbes folles

Qui dansaient dans les champs

Remplaçant les blés coupés.

Le nez au vent,

Il tirait sur sa laisse

Impatient d’être libre et de se rouler

Ventre  au soleil sur les  éteules.

Se tourner d’un côté puis de l’autre

En extase de bien –être.

Le nez au vent je le suivais,

M’écorchant les chevilles

Mais moi aussi, le nez au vent.

Je marchais rêveur et tranquille

Loin des bruits de la ville

Et  heureux… de me laisser mener

Par le bout du nez

 

Par … mon chien.

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Publié le par marie chevalier

A la suite de ces mots "j'enfilai mes bottes" vous écrivez un texte court sous la forme qu'il vous  plaira

 

Vive la campagne !

 

 J’enfilai mes bottes, bien décidé à aller  me balader avec mon chien dans la  nature. Nous étions  venus de Paris exprès  voir un copain mais surtout  s’aérer, respirer, enfin tout ce que l’on fait à la campagne.  J’avais mis  la laisse de  Victoire (c’est ma chienne) autour de  ma cuisse pour qu’elle ne  se sauve pas  sans m’attendre.  J’étais adossé au mur de l’entrée  un pied levé et  arcbouté sur cette saloperie de botte gauche qui ne voulait  pas rentrer. Il parait que l’on a  un cou-de-pied  plus gros que l‘autre  et bien je confirme.  Mon autre botte s’était enfilée tranquillement sans problème et là je tirais dessus comme un malade. Ma  chienne  s’énervait  et  j’étais obligé de hausser  le ton.  Et tout à coup, voilà le voisin qui arrive avec un énorme  Malinois  qui fonce sur Victoire.  Je  lui hurlai de se tenir tranquille   mais elle n’en fit qu’à sa tête et forcément voulut faire connaissance. En tirant sur sa laisse entourée autour de  ma cuisse, comme  j’étais sur un pied, je  glissai sur  les fesses et elle  me traina  jusqu’à la porte  que  je pris en plein dans la figure. Ma botte n’était toujours  pas mise et elle valsa dans la porte fenêtre en cassant un carreau.

Finalement, nous ne reviendrons  pas forcément bientôt à la campagne, il y a quand  même  pas mal d’inconvénients  non ?  

 

Victoire ! Au pied, on va regarder la télé finalement. 

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Publié le par marie chevalier

On choisira pour point de départ l'un ou l'autre des débuts de phrases suivants :

Quand les poules avaient des dents, ...ou

Quand les poules auront des dents, ...

On mentionnera dans son titre "Défi n° 112" et on commencera donc son texte par l'un ou l'autre début de phrase, à partir duquel on sera libre de raconter ce qu'on voudra.
 Pas nécessaire de prendre les poules pour sujet, bien sûr ! 

On peut  rêver

 

Quand les poules auront des dents

Nous ne serons  plus  là pour le voir

Mais le monde éclatera de lumière

Et tout le monde sera  heureux

Quand les poules auront des dents

Animaux et  humains se parleront

Se comprendront

Auront le  même langage

Celui du cœur.

Quand  les poules auront des dents

Nous serons tous  morts  ma sœur

Mais  quel beau rêve  avons-nous fait là

Quel bel avenir cela sera 

                                                        Quand les poules auront des dents !

Mais réveillons-nous et dommage

Ce n’était qu’un mirage

Il n’y aura jamais de poules

Avec  des dents….

 

MC

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Publié le par marie chevalier

 

 Vous connaissez la brasserie d’Emile ? Mais oui dans votre quartier tout le monde la connaît, c’est là où chacun fait une halte un jour ou l’autre pour boire ou pour manger...Si on dit que les murs ont des oreilles alors pourquoi pas les chaises !

En vers ou en prose, faites papoter sans retenue les chaises de la brasserie…

 

DISCUSSION A BARREAUX  ROMPUS

 

— Tu as vu madame Bernard ces derniers temps ?

 — Non pourquoi ?

— Elle a  des problèmes de vessie et crois –moi  j’en sais quelque chose   C’est toujours sur  moi qu’elle se pose.

— Ne me dis pas…

— Non bien sûr que non, la  pauvre, mais elle est obligée chaque fois de  me faire glisser  sur  le parquet et je ne te dis pas dans quel  état  sont  mes pieds ! Elle va au moins cinq fois aux toilettes pendant son repas !

— A ce  propos, moi je reçois souvent le derrière pas maigre du curé de la paroisse. Alors  lui je vais  vous dire, c’est  un grand  malheur, il doit avoir des bêtes ce n’est pas possible, il n’arrête  pas de  se tortiller et  je sais que  mon skaï est abimé à cause de lui.

— Qui supportes-tu que tu as l’air toute chose, toi  la prétentieuse en faux cuir ? 

— Moi vous ne devinerez jamais, vous ne  le reconnaissez  pas ?  C’est  Albert Deloin !

— Et alors ?

— Ben enfin ! C’est le  maire du village !

— D’accord mais  qu’est- ce qu’il a de  particulier ? 

— D’après sa femme, il a une maitresse de  30 ans de moins que lui !

— Ah oui ?  Pourtant il est  gras et laid  non ? 

— Et  vous ne  l’avez  pas sur le dossier  si je puis dire, il est d’un lourd ! Il s’appuie à faire péter  les accoudoirs !

—  Aucune tenue  tous ces notables  je vous jure !

— Vous avez entendu, Madame Leblanc est enceinte…  la mère Rose vient de le dire à son voisin.

— De qui ? 

— Oh mauvaise  langue ! De son pauvre mari bien sûr !

— Parce que moi je vous assure que je ne  me suis rendue compte de rien pourtant, elle a grossi et bien j’ai toujours  l’impression qu’elle  a  le Q entre deux chaises  et n’est pas plus lourde du tout.

Et  les chaises de rire,  de rire, du bon mot d’une des leurs !  

Elles ont tellement ri ce jour  -là, que  leurs occupants gênés  se regardèrent tous en se soupçonnant  mutuellement  d’avoir émis des bruits  insolites sur leur chaise !

La salle se vide …  les chaises sont repoussées le long des murs afin de balayer par terre.

— Au revoir les filles ! A demain ! J’espère que je n’aurai pas ce gros imbécile de  cantonnier. Il s’assoie  avec sa vareuse toute  pleine de  boue et qui, ensuite est forcée de  se faire  laver et  frotter à la brosse de chiendent,  hein ? 

— Moi ça va  c’est  le  directeur de  l’agence qui me lustre, regardez son pantalon ! Il n’arrête  pas de bouger  et de  changer ses jambes de place, je n’en peux plus !

—  Allez  bye  toutes  à demain pour une nouvelle crise de rire !

 

 

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