Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de Marie Chevalier

Le blog de Marie Chevalier

un blog pour mes écrits et pour y recevoir mes amis

Publié le par Marie Chevalier
pour ceux qui n'auraient  pas vu j'ai annoncé mon...

pour ceux qui n'auraient pas vu j'ai annoncé mon dernier roman
les amis virtuels devraient en principe voir ma communication n'est -il pas vrai?
il s'agit de mon 8 ème roman

ISBN : 9781326319274
Copyright : Licence de droit d'auteur standard
Éditeur : Marie Chevalier
Publié 21 juin 2015
Prix : 12 euros

4 ème de couverture

Une famille ordinaire, une jolie maison spacieuse dans un petit bourg du Loiret et l’histoire commence.
Nicolas, 30 ans, qui n’arrive pas vraiment à s’assumer et vit encore avec ses parents.
Thierry, patron d’une petite société, un peu volage, souvent en déplacements pour affaires et plus …
Cathy, la mère au foyer, gentille mais qui un jour en a assez de cette vie monotone.
Jean, l’oncle de Thierry, quincailler, qui fut autrefois amoureux de Cathy.
Et bien sûr, Marguerite, la mère de Thierry qui vit avec le couple et dont Cathy prend soin.
Et puis un jour tout cet édifice s’effondre. Personne n’en sortira indemne.

Extrait 1

… Sa belle-mère était par terre, la chemise de nuit bien tirée sur ses mollets et les bras le long du corps. Ses cheveux étaient coiffés et la chambre sentait bon le doux parfum de lavande qu’elle aimait vaporiser après chaque toilette.
— Mamie ?
En l’appelant, Cathy vint s’agenouiller près d’elle et tâta son cou comme elle avait vu faire dans les films à la télévision. Aucun mouvement…et surtout malgré ses efforts pour la relever, Mamie ne bougeait plus du tout et retombait inerte sur le sol….

Extrait 2

… — Mais mon argent est en lieu sûr monsieur l’agent il est dans mes bottes. Les deux policiers sourirent et recommandèrent à la vieille dame d’être prudente et de ne pas enlever ses bottes. En partant ils souriaient encore….

Extrait 3

… Jean s’était approché de lui et calmement avec un sourire forcé lui ordonna de se dévêtir. André protesta mais Jean lui envoya son pied dans le bas- ventre…

Extrait 4 :

… Pendant qu’il lui parlait, il tenait le fusil braqué vers son visage. André pâlissait de peur. Un coup est si vite parti, la preuve pour Johan. S’il ne l’avait pas traité de tous les noms mais surtout de lâche, il n’aurait pas tiré. Les gens n’ont pas conscience des mots qu’ils emploient.
Il prit une toute petite voix et commença son récit. A plusieurs reprises il voulut se lever mais Jean l’en empêchait avec force.
Quand il eut terminé, Jean le mit en joue et tira….

Commenter cet article
E
Mener un projet comme celui-ci c'est beaucoup de travail, de courage, de persévérance. Alors, bravo!
Répondre
M
merci pour ton passage j'apprécie énormément bonne journée

Articles récents

Hébergé par Overblog