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Le blog de Marie Chevalier

Le blog de Marie Chevalier

un blog pour mes écrits et pour y recevoir mes amis

Publié le par marie chevalier
Publié dans : #défis croqueurs de mots

Pour ce défi 258 , Laura nous propose de parler de l’Avent,

cette « période de préparation au Noël chrétien .

Peu importe que vous soyez croyant, pratiquant ou aucun des deux,

il s’agit ici de culture judéo-chrétienne qui est (un peu)la nôtre parmi d’autres.

Pas de Père NOEL, de bûche, ni de galette ici mais les mots:

divin, crèche, santons, couronne, violet, messe, minuit, cierge, ange.

 

Petits plaisirs

 

Je sais qu’il existe une période de l’année qui s’appelle l’Avent. Je n’en ai aucune notion, ayant été élevée dans une famille qui ne pratiquait absolument aucune tradition de quelque nature qu’elle soit mais particulièrement celles qui avaient une connotation avec la religion. J’ai dû aller deux fois à la messe par respect pour la famille de défunts proches et n’y ai rien trouvé de divin.

Tous les ans, la voisine, très pieuse venait nous chercher pour que nous allions, ma sœur et moi admirer la crèche que ses enfants avaient confectionnée. Elle en profitait pour médire sur mes parents qui n’avaient pas le droit de nous laisser grandir comme des mécréants.  En revanche, elle en profitait pour nous préparer une boisson chaude faite à base de miel et d’orange, un délice et un gout divin !

Sa crèche était banale, on en voyait partout dans les vitrines des grands magasins mais la différence était qu’elle confectionnait elle-même les santons. Ils étaient magnifiques, je dois l’admettre. Sur le côté elle y installait plusieurs cierges qui brulaient jusqu’à minuit, jusqu’au jour où le « divin » enfant allait naître.  C’est ainsi qu’elle le nommait.

Pendant cette période de l’Avent, elle venait souvent à la maison. Cela mettait mon père en colère car il l’accusait de vouloir nous convertir à ses bondieuseries. N’empèche que ma sœur et moi étions attentives et quand elle nous racontait que Noël était suivi par la galette des rois et que celui ou celle qui trouvait la fève avant droit à une couronne, nous étions très fâchées contre nos parents qui ne nous en faisaient jamais.

Enfin, quand arrivait Noël et que nous étions malgré tout scotchées devant la télévision qui ne parlait que de cela, nos parents craquaient et nous avaient quand même acheté des cadeaux. Nous pouvions donc en parler le lendemain avec les copines comme toutes les autres. Elles étaient allées à la messe de minuit et c’était l’évêque revêtu de sa chasuble violette qui avait fait l’office. Il parait qu’il s’était adressé aux enfants présents en les appelant « les petits anges de Dieu »

 Ma meilleure amie qui était toujours excessive dans ses propos avait même ajouté un jour : ce que nous dit l’évêque est divin !

En tout cas, cette période reste un bon souvenir même si nous la vivions par procuration.

 

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Publié le par marie chevalier
Publié dans : #défis croqueurs de mots

thème:

 Je vous propose de regarder cette toile  (Rébecca Brodskis) et de vous en inspirer pour écrire un texte. Elle se nomme chassé-croisé. Vous pouvez vous inspirer de la totalité ou de la partie droite ou gauche du tableau. Ce peut être en relation directe avec le tableau ou simplement ce que cela invoque pour vous. 

 

 

Ils étaient quatre à se promener ensemble en faisant fi de leur couleur de peau.  Deux étaient noirs

Deux étaient blancs.

Le noir protégeant le petit blanc

Le blanc s’agenouillant devant le petit noir et le protégeant du soleil.  

Les deux chiens complètement indifférents aux couleurs les copiaient dans leurs attitudes.

Mais les deux regardaient dans la même direction que leur maître.

Belles images de tolérance ce tableau !

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Publié le par marie chevalier
Publié dans : #mes romans

C’était un sale type

roman

 

 

 

 

 

 

Bonjour,

 

Je vous présente mon onzième roman.

Je raconte une famille où les hommes n’ont pas la part belle. Mais ce n’est qu’un roman. Il ne faut y voir aucune connotation personnelle et ne pas essayer de reconnaitre ces femmes. A travers leur histoire, cela pourrait être ta mère, ta sœur, ta tante, ta fille….

 

4ème de couverture

Marie Chevalier nous livre ici son onzième roman.

Toujours dans la réalité, elle dresse un tableau de femmes.

Chantal, la plus âgée, sa fille Valérie, Caroline la petite-fille et puis Elsa, l’amie et puis … Julien… le fils de Caroline.  Il y a de la place pour les hommes dans leur vie bien sûr, mais elles jouent de malchance quand elles rencontrent des lâches, et des pervers.

Leurs batailles, leurs souffrances, leur détermination… tout est raconté dans ce petit roman sans prétention comme sait le faire l’auteure.

 

Extraits :

… Toutes les maisons de la rue étaient semblables, en briques, près de l’usine artisanale de cordages pour les bateaux.  Pas un arbre ne venait égayer cette rue mais elle n’était jamais calme, que de rires d’enfants, de cris, de jeux, de foot depuis toujours ! Les femmes sortant de l’usine à seize heures, faisaient un bout de chemin ensemble et parlaient surtout de la vie chère et de ce qu’elles allaient faire à diner à leur famille. ..

 

…Il ne vint jamais. Elle saura plus tard qu’il s’était « dégonflé » c’est le terme qu’il avait employé, se sentant trop jeune et ayant peur de s’embarquer dans une aventure sans lendemain. Elle ne lui dit pas qu’elle était enceinte….

 

…La première fois que Philippe leva la main sur elle ce fut à un de ses retours de chasse, un dimanche vers dix-huit heures. Elle lui avait acheté un petit cadeau, une bricole, un agenda électronique pour son anniversaire. Il l’avait pris, regardé, essayant de comprendre comment cela fonctionnait quand Valérie eut la malencontreuse idée de lui faire remarquer qu’il ne fallait pas être doué pour savoir se servir d’un agenda….

 

…Elle s’était attablée dans la cuisine. Depuis qu’elle était seule, elle n’arrivait pas à prendre un repas correctement. Elle faisait réchauffer des aliments tout préparés qu’elle trouvait dans les grandes surfaces et les mangeait dans leur emballage.  ..

 

…Toutes les deux avaient la haine.

Ces deux femmes qui avaient aimé Caroline, s’alliaient pour la détruire et bien sûr, détruire également celui qui était à la base de tout. C’est lui qui l’avait prostituée, c’est lui qui avait fugué avec elle, c’est lui encore qui n’avait donné aucune nouvelle alors qu’il en avait, alors oui c’est lui qui allait payer en premier….

…Le gamin ne prononça pas un mot. Il avait pris la main de sa mère dans la sienne et lui avait murmuré : Maman je ne te laisserai pas partir seule.

Elsa et Valérie n’avaient pas compris. Elles avaient toutes les deux pensé que le petit Julien viendrait souvent voir sa mère, ce qui leur faisait plaisir de voir qu’il assumait….

 

On peut se le procurer auprès de moi naturellement : marie-ded@outlook.com

Ou sur le site de Lulu.com

Et sur Amazon dans quelques semaines

Pris 14 euros

 

 

 

 

il est maintenant également édité par Edilivre:

 C'était un sale type - Marie Chevalier - Edilivre

 

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Publié le par marie chevalier
Publié dans : #défis croqueurs de mots

À partir de phrases de chansons, n’importe lesquelles, d’un ou de plusieurs chanteurs, sur l’automne ou le thème de votre choix, assemblez ces phrases pour en faire un texte cohérent.

 

 

L’automne et l’amour

 

A la faveur de l'automne, revient cette douce mélancolie et je me souviens des jours heureux et je pleure.

C'est la fin de l’été, la feuille d'automne emportée par le vent en rondes monotones tombant, tourbillonnant, et je pleure.

Je voudrais tant que tu te souviennes, les feuilles mortes qu’on ramasse à la pelle, toi, tes allures de garçonne rompiez un peu la monotonie de mes journées de mes nuits.

On m'avait prévenu voici la vérité nue manquerait. Plus que le mauvais temps, rivé devant le téléphone J'attends que tu daignes m'appeler que tu te décides enfin.

Tu sais, je n'ai jamais été aussi heureux que ce matin-là.  Nous marchions sur une plage un peu comme celle-ci, c'était l'automne, un automne où il faisait beau.

Et pourtant ! pourtant !

Je suis venu te dire que je m’en vais.  Tes sanglots longs n’y pourront rien changer.

Moi qui suis à l’automne de ma vie, on oublie tant de soirs de tristesse
Mais jamais un matin de tendresse.  Alors pars, ne te retourne pas. Pars et surtout reviens-moi.

Voilà, c’est fini…..

 

 

 

 

 

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Publié le par marie chevalier
Publié dans : #défis croqueurs de mots

Décrivez un de vos défauts ou atouts physiques ou de personnalité en utilisant le plus possible d'adjectifs en gras dans l'extrait de la tirade du nez de Cyrano de Bergerac ci-dessous. Vous pouvez aussi utiliser d'autres adjectifs.

Extrait de la tirade du nez de Cyrano de Bergerac :

Agressif: Moi, Monsieur, si j'avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l'amputasse ! 
Amical: Mais il doit tremper dans votre tasse !
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap! 
Descriptif:  C'est un roc ! . .. c'est un pic ! . . . c'est un cap !
Que dis-je, c'est un cap ?. .. C'est une péninsule ! 
Curieux:  De quoi sert cette oblongue capsule ?
D'écritoire, Monsieur, ou de boite à ciseaux ? 
Gracieux:  Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? 
Truculent:  Ça, Monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu'un voisin ne crie au feu de cheminée ? 
Prévenant:  Gardez-vous, votre tête entrainée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! 
Tendre:  Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! 
Pédant: L'animal seul, Monsieur, qu'Aristophane
Appelle Hippocampelephantocamelos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d'os ! 
Cavalier:  Quoi, l'ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c'est vraiment très commode! 
Emphatique: Aucun vent ne peut, nez magistral,
T'enrhumer tout entier, excepté le mistral ! 
Dramatique :  C'est la Mer Rouge quand il saigne ! 
Admiratif:  Pour un parfumeur, quelle enseigne ! 
Lyrique:  Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? 
Naïf:  Ce monument, quand le visite-t-on ?
Respectueux: Souffrez, Monsieur, qu'on vous salue,
C'est là ce qui s'appelle avoir pignon sur rue! 
Campagnard:  He, ardé ! C'est-y un nez ? Nanain !
C'est queuqu'navet géant ou ben queuqu'melon nain ! 
Militaire:  Pointez contre cavalerie !
Pratique:  Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, Monsieur, ce sera le gros lot !

Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »

 

Bonjour Laure,

Je réponds à ton mail du 14 octobre.

Mais c’est un véritable descriptif de ce que tu penses de moi, c’est dramatique !

Depuis quand me juges-tu agressif ?  Moi qui suis on ne peut plus tendre ? la crème des hommes ?

Bien sûr, je sais aussi être distant, voire complètement en dehors de la conversation que tu as avec tes copines.

Mais je vais te dire une chose, il n’y a pas plus gracieux que moi, ou alors je suis naïf et je crois bêtement que je le suis !

L’autre jour, j’ai voulu ramasser le sac de ma voisine, car je suis aussi ne t’en déplaise prévenant., eh bien elle aussi avait un reproche à me faire, elle a osé dire que j’étais pédant ! alors que je suis d’une modestie, tous mes collègues te le diront ! elle a même ajouté qu’elle était très surprise que je l’aide car pour elle je ne suis qu’un prétentieux emphatique !  Suffisant et surtout imbu de ma petite personne. Ca m’apprendra à vouloir aider les gens !

Bon passons à autre chose tu m’affirmes également que je ne suis pas gracieux, que je ne fais aucun effort, mais tu te rends compte à quel point tu te trompes !

Je suis toujours curieux de tout ce que tu fais, je suis à l’écoute, tu me le dis toi-même que je suis un tendre, et surtout respectueux vis – à vis des gens, il faudrait savoir !

Je crois que notre liaison va se terminer là, car je ne suis pas lyrique moi, je suis un campagnard tout simple, sans idées toutes faites sur les autres.

Ton mail m’a fait mal mais au fond je le trouve truculent comme moi !

Bon en même temps on ne va pas faire dans le mélo, je ne suis pas adepte des comédies dramatiques, alors reprends contact avec ton ancienne liaison, ton militaire ! et oublies-moi

Bon vent

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Publié le par marie chevalier
Publié dans : #défis croqueurs de mots

Imaginons que nous ne sommes que vers la fin de septembre 2019.

Pour celles et ceux qui mesurent le temps en années scolaires, Elle vient de commencer et vous avez des rêves voire des projets plein la tête. Essayons de faire abstraction du vécu de ces deux dernières années pour écrire un texte de quelques lignes en prose ou en vers (libres ou pas) dans lequel nous nous projetons dans cet avenir proche. Rêvons un peu, beaucoup, passionnément !

 

Un rêve réalisé

 

Nous étions en septembre 2019 et depuis quatre années, ma femme refusait de prendre un chat, le nôtre étant parti de vieillesse en 2015. J’avais beau la supplier, lui dire combien cela me manquait, elle restait intraitable.

Des arguments, elle m’en trouvait chaque fois :

 J’ai trop souffert quand il est parti,

On voit que ce n’est pas toi qui l’a emmené se faire euthanasier,

 Nous en avons déjà eu trois, ça suffit maintenant je veux la paix,

 Je veux dormir tranquille sans être réveillée par une bestiole qui viendrait me lécher les cheveux à quatre heures du matin,

J’ai donné

Etc…

Et puis en ce matin triste et sombre du vingt et un septembre 2019, l’automne était à la porte et franchement je ne me sentais pas très bien : anxieux, stressé, les ans sans doute mais aussi cela faisait juste quatre ans jour pour jour que notre chat n’était plus.

Je buvais mon café debout devant la fenêtre, maudissant cette pluie qui n’en finissait pas quand ma femme me tapa sur l’épaule.

Je me retournai vivement et essuyai mes yeux pleins de larmes. Elle me regarda comme si elle me découvrait.
— Zut tu ne vas pas bien ? Moi qui avais une bonne nouvelle à t’annoncer !

— Dis toujours

— Demain nous allons au village voisin, une dame se sépare de ses chatons. Elle les donne et j’ai pensé que ce serait chouette de penser enfin à remplacer notre …

Rien ne pouvait me faire plus plaisir, je la pris dans mes bras et lui embrassai les cheveux. Elle rit gauchement en me disant : ah non tu ne vas t’y mettre toi aussi, le nouveau venu se chargera de me faire des baisers dans les cheveux !

Et c’est ainsi que cette décision prise en 2019 nous a sauvés de l’hébétude dans laquelle un certain virus nous a mis. Heureusement, ce petit chat réclamait des caresses, des jeux, et il était si mignon ! Nous passions notre temps à nous occuper de lui et le temps passait vite.

Mes amis disaient qu’ils étaient confinés chez eux, pour leur travail ou tout simplement parce qu’ils ne pouvaient pas se distraire. Mais nous ? nous étions pris à plein temps et cette petite boule de poils nous avait fait accepter le confinement à peu près correctement.

Nous pensons parfois que si nous n’avions pas eu cette « bestiole » nous nous serions fait suer !! et de plus mes angoisses et mon stress n’auraient fait que me rendre encore plus malade.

Merci ma femme pour ce cadeau.

 

 

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Publié le par marie chevalier
Publié dans : #défis croqueurs de mots

« Refaire le monde sur le zinc,  à l'aide de ces 15 expressions en verlan, texte en français bien sûr, incluant ces 15 expressions....!!!

 

Auch = chaud,  Beubard = barbe  Cheum = moche Gueudin = dingue Joibour = bourgeois Keum = mec

 Laisse béton = laisse tomber  Meuf = femme Nawak = n'importe quoi Péta = taper  Résoi = soirée

 Teillebout = bouteille Veugra = grave Yeuve = vieux  Zeyo = oseille

 

Romain s’éclate

Romain, la vingtaine, blond filasse était cheum et qui plus est un peu gueudin.

Ses parents, des joibourg de la ville, essayaient de lui trouver une meuf dans les résoi qu’ils organisaient chaque samedi dans leur magnifique villa de Joigny.

Il est vrai  qu’ils avaient pas mal de zeyo. Le père un yeuve de soixante ans se la pétait veugra depuis qu’il avait été élu adjoint au maire.

Dans ces soirées, il pouvait se passer nawak : un soir, Romain qui rêvait de se laisser pousser la beubard en parla à Justine, la fille du notaire qui s’enquiquinait elle aussi dans ces mondanités.

Elle le regarda stupéfaite : la beubard ? laisse béton, tu crois que tu en as besoin pour avoir l’air d’un keum ? et puis ça donne auch ! et puis ça ne fait pas soigné ! déjà que tu es limite !

Très vexé, il se jura intérieurement de ne plus jamais assister à ce genre de réunions de bobos.

Il préférait dix fois plus se peta une teillebout du petit vin de bourgogne à la cave, discrètement pendant que les autres crevaient de auch dans leur vestons trop serrés.

C’est ainsi que l’on vit Romain, de plus en plus souvent trainer dans les rues, la teillebout à la main et chantant la Marseillaise avant que les flics ne l’arrêtent.

 

 

 

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Publié le par marie chevalier
Publié dans : #recueil de poésie
Premier prix au concours littéraire de APPEL Biscarosse
Premier prix au concours littéraire de APPEL Biscarosse

Mon recueil de poésie libre  "Moments choisis"a été retenu en premier prix au concours annuel d'APPEL. je suis très contente

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Publié le par marie chevalier
Publié dans : #recueil de nouvelles

 

 

 

Il s'agit de mon 18ème recueil de nouvelles.

J'ai voulu y mettre  une trentaine de nouvelles écrites durant l'année de confinement. J'ai essayé de ne pas me laisser impressionner par l'ambiance et rester moi- même face aux événements, la peur n’évitant pas le danger j'espère que ce recueil est le reflet de ce que j'aime écrire.

Certains textes ont été élaborés par une communauté d’amis avec un thème imposé, d'autres sont sortis de mon imagination.

Dans tous les cas j'ai pris plaisir à les écrire.

Quant aux poèmes… Je dois en avoir environ 500 voire plus, alors la source se tarit à mon grand regret.

J'ai donc intégré les cinq de cette année dans ce recueil

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Publié le par marie chevalier
Publié dans : #défis croqueurs de mots

Je souhaite, à partir de la liste de mots composés ci-dessous :

– Boîte à musique

– Brosse à dents

– Chambre à coucher

– Couteau à huîtres

– Cuillère à soupe

– Fer à repasser

– Lampe à huile

– Machine à laver

– Moulin à café

– Salle à manger

– Stylo à bille

– Vernis à ongles

vous voir choisir deux noms communs pour obtenir un nouveau nom composé fantaisiste et de m’en donner la définition, tout aussi fantaisiste. Une, deux propositions, voire plus, seront appréciées !  
Exemple :
Cuillère à gazon.      
La cuillère à gazon permet de ramasser le gazon qui a été coupé.  

 

Couteau à dents : sert à se récurer les dents là où la brosse ne passe pas

 

Moulin à laver : une espèce de machine  avec un moteur qui brasse le linge et épargne le mal de bras à la ménagère de plus de cinquante ans

 

Cuillère à café : c’est la dose que l’on met habituellement dans la tasse avant d’y ajouter l’eau bouillante.

 

Chambre à repasser : pièce où toujours la même ménagère de plus de cinquante ans  repasse et plie son linge en regardant la télé avant d’aller s’allonger sur le lit en cas de fatigue.

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