Ce roman autoédité chez Lulu l'est aussi chez book-éditions
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un blog pour mes écrits et pour y recevoir mes amis
Ce roman autoédité chez Lulu l'est aussi chez book-éditions
Ce roman avait tout d'abord été édité par Publibook en 2001, mais il n'y est plus. Je l'ai donc réédité sur book- éditions et le voilà:
Ce roman a eu le premier prix APPEL c'est toujours un plaisir pour moi.
C’était un sale type
roman
Bonjour,
Je vous présente mon onzième roman.
Je raconte une famille où les hommes n’ont pas la part belle. Mais ce n’est qu’un roman. Il ne faut y voir aucune connotation personnelle et ne pas essayer de reconnaitre ces femmes. A travers leur histoire, cela pourrait être ta mère, ta sœur, ta tante, ta fille….
4ème de couverture
Marie Chevalier nous livre ici son onzième roman.
Toujours dans la réalité, elle dresse un tableau de femmes.
Chantal, la plus âgée, sa fille Valérie, Caroline la petite-fille et puis Elsa, l’amie et puis … Julien… le fils de Caroline. Il y a de la place pour les hommes dans leur vie bien sûr, mais elles jouent de malchance quand elles rencontrent des lâches, et des pervers.
Leurs batailles, leurs souffrances, leur détermination… tout est raconté dans ce petit roman sans prétention comme sait le faire l’auteure.
Extraits :
… Toutes les maisons de la rue étaient semblables, en briques, près de l’usine artisanale de cordages pour les bateaux. Pas un arbre ne venait égayer cette rue mais elle n’était jamais calme, que de rires d’enfants, de cris, de jeux, de foot depuis toujours ! Les femmes sortant de l’usine à seize heures, faisaient un bout de chemin ensemble et parlaient surtout de la vie chère et de ce qu’elles allaient faire à diner à leur famille. ..
…Il ne vint jamais. Elle saura plus tard qu’il s’était « dégonflé » c’est le terme qu’il avait employé, se sentant trop jeune et ayant peur de s’embarquer dans une aventure sans lendemain. Elle ne lui dit pas qu’elle était enceinte….
…La première fois que Philippe leva la main sur elle ce fut à un de ses retours de chasse, un dimanche vers dix-huit heures. Elle lui avait acheté un petit cadeau, une bricole, un agenda électronique pour son anniversaire. Il l’avait pris, regardé, essayant de comprendre comment cela fonctionnait quand Valérie eut la malencontreuse idée de lui faire remarquer qu’il ne fallait pas être doué pour savoir se servir d’un agenda….
…Elle s’était attablée dans la cuisine. Depuis qu’elle était seule, elle n’arrivait pas à prendre un repas correctement. Elle faisait réchauffer des aliments tout préparés qu’elle trouvait dans les grandes surfaces et les mangeait dans leur emballage. ..
…Toutes les deux avaient la haine.
Ces deux femmes qui avaient aimé Caroline, s’alliaient pour la détruire et bien sûr, détruire également celui qui était à la base de tout. C’est lui qui l’avait prostituée, c’est lui qui avait fugué avec elle, c’est lui encore qui n’avait donné aucune nouvelle alors qu’il en avait, alors oui c’est lui qui allait payer en premier….
…Le gamin ne prononça pas un mot. Il avait pris la main de sa mère dans la sienne et lui avait murmuré : Maman je ne te laisserai pas partir seule.
Elsa et Valérie n’avaient pas compris. Elles avaient toutes les deux pensé que le petit Julien viendrait souvent voir sa mère, ce qui leur faisait plaisir de voir qu’il assumait….
On peut se le procurer auprès de moi naturellement : marie-ded@outlook.com
Ou sur le site de Lulu.com
Et sur Amazon dans quelques semaines
Pris 14 euros
Ce roman est mon dixième.
l'histoire:
Ma mère n’aimait pas Noël, est-ce un roman un peu thriller, un peu polar ou un peu fiction ?
Séverine se voit confiée à une vieille tante à la campagne à cause de la guerre. Séverine va vivre dans un village de Picardie et s’habituer à la vie rude. Un événement douloureux va la détruire lorsque sa mère oublie un cadeau promis pour Noël. La petite s’évanouit et tombe sur la tête se blessant gravement. Elle est transportée à l’hôpital d’Amiens par le docteur Dupas, vieux médecin retraité qui exerce pour rendre service. Toute sa vie sera bousculée par ce docteur. Mais pourquoi ? que lui a-t-il fait ? Qu’a-t-elle vu pour avoir complètement changé d’attitude et être devenue si difficile à vivre depuis ce séjour à l’hôpital ?
De suspense en suspense on se pose toutes les questions et jusqu’à la fin on se demande qui est Séverine et de quoi est-elle capable ?
Extraits :
1) Ma mère est une rescapée de l’enfer. Je ne dis pas cela au hasard mais ce qu’elle a vécu, je ne le souhaite à personne. Cela dit, à part des absences de mémoire très longues, elle vit normalement. Elle a quand même réussi à se trouver un bon mari, avoir un enfant (moi) et malheureusement je pense que quand on a la poisse ça nous englue et nous tient tout notre vie. Peu de temps après son mariage, mon père tomba d’un échafaudage et se cassa une jambe. I
2) Une vieille tante, Juliette, était partie s’installer à la campagne, dans la Somme, à C…, un petit village de même pas deux cent cinquante habitants, dans une maison de famille dès le début de l’année 1940. Elle avait souvent dit à Flore que si elle était dans l’embarras avec sa petite, elle la prendrait volontiers le temps que tout redevienne normal. C’est ainsi que Séverine trouva une famille adoptive et qu’elle vécut des années de bonheur
3) Trois ans plus tard, Juliette qui n’avait quand même pas beaucoup d’argent et qui comptait le moindre sou parla de l’envie de l’encyclopédie à Flore et son compagnon quand ils vinrent le vingt novembre passer la journée malgré le rejet de Séverine. Pour une fois, en rouspétant malgré tout, il fut décidé que Flore se renseignerait à Paris et lui ferait envoyer le cadeau par la poste pour Noël. Les derniers jours avant le vingt- cinq décembre passèrent très vite.
4) Sa décision était prise. Puisque la petite ne se remettait pas de toute cette histoire, elle allait faire accélérer le processus en créant un choc. Elle fonça dans sa chambre ouvrit le tiroir secret de sa table de nuit et relut une fois de plus la phrase qui avait tout déclenché :
mon roman "Une folie ordinaire" a reçu le premier prix du roman au concours 2017 de Biscarosse
J'en suis très contente et je partage !
Bonjour,
Je viens vous informer que mes neufs romans qui étaient sous la forme « broché » sont maintenant en vente en format « poche ».
Ils sont visibles sur mes blogs :
http://mariechevalier.over-blog.fr
http://marieetsesecrits.eklablog.com/
Ils sont en vente sur Lulu. Com
http://www.lulu.com/spotlight/marieded (il vous suffit de mettre le nom du roman ou recueil dans “rechercher” )
Et bientôt sur Amazon. Je vous mets ma page (plus facile pour trouver) :
https://www.amazon.fr/-/e/B009T4SLHW
Bien sûr vous pouvez aussi les commander directement, je me ferai un plaisir de vous les envoyer dédicacés su vous le souhaitez.
Je vous en remercie.
Marie Chevalier
J’ai mis mes neuf romans en e-book et en auto-édition chez Lulu.com
https://www.lulu.com/shop/search.ep?keyWords=marie+chevalier&type=
Bien sûr ils restent disponibles en papier
Les Jeannette, (4 euros)
JEANNETTE disparaît, laissant VINCENT, désemparé, face à son malheur trop soudain.
Il est seul, confronté à de nouveaux problèmes domestiques et administratifs qu'il n'a jamais maîtrisés : il est mal.
Et voilà, qu'en plus, il trouve par hasard une lettre adressée à JEANNETTE , non ouverte !
Curieux, il découvre une lettre d'amour ou plutôt une lettre de rupture, signée d'un grand P majuscule ???…
A partir de ce moment, il n'a de cesse de savoir s'il a été trompé ou non par sa femme.
Cela devient une véritable obsession.
Au cours de ses recherches, il rencontre PAULINE et sa vie va osciller entre le rêve, la réalité, voire le cauchemar…
Une folie ordinaire (4 euros)
Nicolas est un garçon calme et affectueux. Il est élevé par sa mère, Hélène, qui s'est retrouvée veuve peu de temps après son mariage et avant la naissance de son fils.
Justine, la soeur de son père n'a de cesse, d'essayer de convaincre Hélène de se détacher de Nicolas qui devient de plus en plus différent et apporte bien des tourments à sa mère.
Une suite d'évènements malheureux et inexpliqués se succèdent dans la famille d'Hélène et de doutes en certitudes, on se demande lequel d'Hélène, de Justine ou de Nicolas sera rattrapé le premier par la folie.
Les marques de la vie (3 euros)
Lucie est une femme à qui la vie n’a pas fait de cadeau. A soixante ans passés, c’est l’heure du bilan, de la douloureuse rétrospective. Douloureuse, certes, mais néanmoins nécessaire, ne serait-ce que pour comprendre pourquoi cette gamine “ne souriait jamais quand elle avait cinq ans”. Car à cinq ans, la seule préoccupation de cette enfant abandonnée à sa tante, se résumait en une question, terriblement récurrente : “Tata, qu’est-ce qu’elle fait Maman à cette heure-ci ?”. Mais Lucie ne peut, ne veut écrire sa propre vie. Alors, c’est Marie Chevalier, son amie, qui s’attèle à cette lourde tâche qui est de témoigner de la dure construction d’une femme forte, afin de donner un exemple, une preuve qu’il n’y a pas de fatalité.
Pas de chance (3 euros)
Ceci est la dernière version de mon roman « des vies saccagées ». en effet, j’ai réécris, du moins complété ce qui paraissait à plusieurs lecteurs un peu trop sec et un peu trop reportage. J’ai donc fait en sorte d’étoffer les personnages, de mieux les décrire, mais l’histoire reste celle-ci-dessous
J’ai voulu raconter la vie de plusieurs femmes depuis les années 1900 à nos jours : leurs souffrances, leurs joies, leur dure vie, la guerre, la misère... Elles auraient pu être mes grands-mères ou mes tantes ou ma mère.
Qu’en penses-tu ? (3 euros)
Eva et Sonia sont jumelles. Leur mère est morte en les mettant au monde et elles ont été élevées par leur grand-mère Maryvonne. Elles ne connaissent pas leur père qui est parti loin d’elles au décès de sa femme... .Entourées de la tendresse de leur Mamie, elles ont peu souffert de cet abandon et sont devenues de jolies jeunes filles gaies et aimant rire et s’amuser. C’est malheureusement à cette époque que le destin bascule et les sépare. Des hommes entrent en « scène » et elles vont terriblement souffrir sous le regard de Maryvonne qui, malgré son amour ne peut pas beaucoup les aider.
Les dérives de l’ambition (3 euros)
Cette fois nous entrons dans un univers où l’argent règne en maitre au détriment sans doute des sentiments.
Un mariage discordant, des événements imprévus, des non-dits, des secrets bien gardés, Des personnages qui évoluent, se croisent, se font mal parfois …
C’est tout cela que Marie Chevalier nous raconte…
Marguerite ou le pot perdu (3 euros)
Une famille ordinaire, une jolie maison spacieuse dans un petit bourg du Loiret et l’histoire commence.
Nicolas, 30 ans, qui n’arrive pas vraiment à s’assumer et vit encore avec ses parents. Thierry, patron d’une petite société, un peu volage, souvent en déplacements pour affaires et plus … Cathy, la mère au foyer, gentille mais qui un jour en a assez de cette vie monotone. Jean, l’oncle de Thierry, quincailler, qui fut autrefois amoureux de Cathy. Et bien sûr, Marguerite, la mère de Thierry qui vit avec le couple et dont Cathy prend soin. Et puis un jour tout cet édifice s’effondre. Personne n’en sortira indemne.
Bastide (3 euros)
Bastide, un jeune homme considéré comme un peu attardé dans un village d’Auvergne se trouve confronté à une dure épreuve quand il rencontre Marie-Laure dont le mari est décédé dans un accident de voiture. Elle-même se remettra-t-elle de cette perte ?
En fait, qui est le plus mal dans cette histoire romanesque ? Marie-Laure ? Bastide ? Ou les autres…
La puce (3 euros)
Bruno et Ariane sont mariés depuis douze ans, ont une petite fille adorable Diane. Ils vivent tranquillement dans un pavillon de banlieue agréable.
Un soir, ils se disputent comme cela peut arriver dans un couple et ils vont se coucher fâchés.
Le lendemain Bruno n’est plus là et Ariane trouve un petit mot sur la table de cuisine : amuse-toi bien moi c’est ce que je vais faire.
Toute sa vie va être modifiée à cause de cette phrase. Contrariée et anxieuse, Ariane prend sa voiture et a un accident. Alors commence l’engrenage infernal. C’est à ce moment qu’elle perd complètement ses moyens et est obligée d’aller se faire soigner, mais pas n’importe où : au centre Dural…
Une folie ordinaire
J'ai commencé ton roman. Quelle peinture de la campagne profonde ! non pas la prodigalité et l'amour de la terre mais la jalousie, la malveillance, la rancune, les tares héréditaires dues à l'alcoolisme ou la consanguinité, le huis clos des familles rustres et rudes sans marque d'amour ni de tendresse. Ces paysans qui prennent les bras des femmes pour le travail qui les esclavagisent, qui les rendent comme des bêtes de somme, abruties, désespérées, morbides.
Où et quand se situe ce roman ? dans les années soixante dans le massif central ? En bretagne dans les années soixante- dix ou cinquante ? c'est terrifiant de rusticité des sentiments des mœurs, des sentiments. J'avoue que j'ai du mal à avancer dans ce climat délétère dont la noirceur me pince le coeur et me renvoie à des émotions négatives. J’ai envie de crier au secours au fur et à mesure de ma lecture. Vais-je pouvoir finir dans un peu de sérénité ? j'en doute, aucun personnage n'est lumineux pour donner un peu d’espoir.
Roman noir et obsédant.
Le mot fin est une délivrance. Je crois que tu as très bien dépeint la désespérance des campagnes au temps de l'exode rural des années 50.
Michèle Rosenzweigh le 28/09/2020
BONJOUR A TOUS
En 2004, j’écrivais « une folie ordinaire » un roman un peu provincial mais que j’ai pris plaisir à écrire. La maison d’édition Ixcéa me l’avait édité et j’en avais pris un stock.
Le problème est que la maison d’édition a mis la clé sous le paillasson.
J’ai donc décidé de l’autoéditer chez Lulu.com comme les autres.
Au moins j’ai les fichiers et j’en suis maître.
L’histoire pour ceux qui ne l’ont pas lu et qui peut-être n’en ont pas entendu parler, je vous la remets ci-dessous :
Résumé:
Nicolas est un garçon calme et affectueux. Il est élevé par sa mère, Hélène, qui s'est retrouvée veuve peu de temps après son mariage et avant la naissance de son fils. Justine, la soeur de son père n'a de cesse, d'essayer de convaincre Hélène de se détacher de Nicolas qui devient de plus en plus différent et apporte bien des tourments à sa mère. Des événements malheureux et inexpliqués se succèdent dans la famille d'Hélène et de doutes en certitudes, on se demande lequel d'Hélène, de Justine ou de Nicolas sera rattrapé le premier par la folie.
J’avais eu la chance que la quatrième de couverture ait été écrite par Joseph Ouaknine ce qui apportait, sans conteste, une note d plus à ce roman. Je vous en donne le contenu :
En lisant ce livre, j’ai eu l’impression de replonger dans l’ambiance provinciale de mon enfance.
Cette atmosphère trouble et ingrate pour la plupart des gens de l’époque, mais en même temps si chaude, si captivante et attachante.
En marge de l’histoire, le récit présente et matérialise parfaitement, de manière brillante, la vie des paysans et rend presque palpable l’idéologie qui entoure les petits villages ou des hameaux,
même si ce n’est pas tellement le sujet abordé.
Malgré la dureté des évènements relatés, le livre est vivant, frétillant.
Il faut dire que le style d’écriture de Marie Chevalier, simple et alerte, se prête particulièrement à une interaction des contrastes.
Une foule d’émotions se dégage dans un tourbillon passionnant: l’obstination, le bonheur, la nervosité à fleur de peau, la douleur, les sentiments cachés, le vice, l’amour,
les tracas du quotidien, partagés ou individuels;
les thèmes abordés fusionnent également dans ce mælström passionnel: la folie, les voleurs, les troubles psychiques,
tous moeurs confondus,
approchant l’inceste, allant jusqu’à l’effleurer même, sans jamais le toucher,
chatouillant l’obscénité sans jamais sombrer dans la vulgarité.
Cette existence très France profonde, c’est du Zola et du Pagnol réunis! Quant à l’histoire, où la situer? Satire? Roman, rose ou noir? Policier?
Un peu de tout cela sans doute... Un bon moment de lecture en tout cas!
Joseph Ouaknine
Donc il est maintenant en vente à Lulu.com
Et visible sur ma page d’auteure :
http://www.lulu.com/spotlight/marieded
ISBN 9781326547912
Copyright Licence de droit d'auteur standard
Publié 28 janvier 2016
Pages : 196
Reliure : Couverture souple en dos carré collé
Prix : 17 euros HT
Je suis heureuse de vous annoncer la sortie en autoédition de mon huitième roman :
Vous pouvez le trouver sur ma page focus de Lulu.com
http://www.lulu.com/spotlight/marieded
ou me le demander directement par mail: dedmarie@orange.fr
Merci à vous
Marguerite ou le pot perdu
ISBN : 9781326319274
Copyright : Licence de droit d'auteur standard
Éditeur : Marie Chevalier
Publié 21 juin 2015
Prix : 12 euros
4 ème de couverture
Une famille ordinaire, une jolie maison spacieuse dans un petit bourg du Loiret et l’histoire commence.
Nicolas, 30 ans, qui n’arrive pas vraiment à s’assumer et vit encore avec ses parents.
Thierry, patron d’une petite société, un peu volage, souvent en déplacements pour affaires et plus …
Cathy, la mère au foyer, gentille mais qui un jour en a assez de cette vie monotone.
Jean, l’oncle de Thierry, quincailler, qui fut autrefois amoureux de Cathy.
Et bien sûr, Marguerite, la mère de Thierry qui vit avec le couple et dont Cathy prend soin.
Et puis un jour tout cet édifice s’effondre. Personne n’en sortira indemne.
Extrait 1
… Sa belle-mère était par terre, la chemise de nuit bien tirée sur ses mollets et les bras le long du corps. Ses cheveux étaient coiffés et la chambre sentait bon le doux parfum de lavande qu’elle aimait vaporiser après chaque toilette.
— Mamie ?
En l’appelant, Cathy vint s’agenouiller près d’elle et tâta son cou comme elle avait vu faire dans les films à la télévision. Aucun mouvement…et surtout malgré ses efforts pour la relever, Mamie ne bougeait plus du tout et retombait inerte sur le sol….
Extrait 2
… — Mais mon argent est en lieu sûr monsieur l’agent il est dans mes bottes. Les deux policiers sourirent et recommandèrent à la vieille dame d’être prudente et de ne pas enlever ses bottes. En partant ils souriaient encore….
Extrait 3
… Jean s’était approché de lui et calmement avec un sourire forcé lui ordonna de se dévêtir. André protesta mais Jean lui envoya son pied dans le bas- ventre…
Extrait 4 :
… Pendant qu’il lui parlait, il tenait le fusil braqué vers son visage. André pâlissait de peur. Un coup est si vite parti, la preuve pour Johan. S’il ne l’avait pas traité de tous les noms mais surtout de lâche, il n’aurait pas tiré. Les gens n’ont pas conscience des mots qu’ils emploient.
Il prit une toute petite voix et commença son récit. A plusieurs reprises il voulut se lever mais Jean l’en empêchait avec force.
Quand il eut terminé, Jean le mit en joue et tira….