Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de Marie Chevalier

Le blog de Marie Chevalier

un blog pour mes écrits et pour y recevoir mes amis

defis croqueurs de mots

Publié le par marie chevalier
Publié dans : #défis croqueurs de mots
défi 134 (croqueurs de mots) Cha alors...

Défi 134 (croqueurs de mots)

Cha vous dit un « chat alors... » d'après photo... oui ? Yes !

Je vous propose en tant que cap'taine 134

« Quinzaine du 24 novembre au 7 décembre 2014 »

Un « chat alors... » en thème du lundi défi, le premier décembre !!

A savoir, le choix entre trois photos à légender, clic droit et emportez !!

Poème, prose, acrostiche, etc... à votre guise, qu'on se le dise !

Possession

Depuis des jours, lové sous la table

Le chat surveillait ce stylo bleu et blanc.

Il avait tout essayé :

Le faire tomber avec sa patte,

Se soulever et le prendre dans la gueule.

Rien à faire ! Cette chose était hantée !

Elle fuyait et semblait s’’accrocher à cette feuille

De papier blanc.

Un jour, plus adroit que d’habitude

Plus décidé aussi sans doute,

Il le fit tomber sur la moquette moelleuse.

Il sauta dessus, le cramponna avec ses pattes

Et l’oeil aux aguets le tint serré

Contre lui.

Il feula doucement en fixant l’intrus

Qui s’avançait vers lui

S’il avait pu parler il aurait dit :

Il n’est pas né celui qui me le prendra !

Il est maintenant à moi !

I

Voir les commentaires

Publié le par marie chevalier
Publié dans : #défis croqueurs de mots
défi 133 (croqueurs de mots) le pseudo

Mettre en scène notre pseudo

L’histoire de mon pseudo

Un jour j’ai décidé, voyageant souvent sur la toile de prendre un pseudo.

Le choix ne fut pas facile car i

Il faut en changer souvent nous a-t-on dit par précaution.

Mais il y a plusieurs façons de changer :

On change tout

On le coupe en deux en mettant d’autres lettres

On y insère des chiffres ? Pourquoi pas ?

Mais la base demeure. Et le mien c’est DARABESQUE.

Ce pseudo a une histoire. Ce n’est pas par hasard que je l’ai choisi, je vais vous raconter…

Quand j’ai pris ma retraite, je regardais souvent une série télévisée qui s’appelait Arabesque. C’était l’histoire d’une institutrice retraitée qui écrivait des policiers, et était devenue célèbre.

J’avais envie d’écrire moi aussi depuis longtemps mais cela m’était difficile car je travaillais et n’avais ni le courage ni l’envie ni le temps de m’donner entièrement à ce que je considère aujourd’hui comme une passion.

Ce personnage, Jessica Fletcher, joué par Angela Lansbury, m’était vraiment très sympathique et quelque part, je sentais que je voulais faire comme elle. Profiter entièrement de ma retraite pour écrire. Ce que je fais d’ailleurs (sourire)

Dès que j’ai eu internet, mon premier pseudo a été ARABESQUE, mais comme i était souvent pris, j’ai ajouté un D et me voilà donc bien souvent affublée de ce pseudo DARABESQUE.

Bien sûr si certains malveillants voulaient s’en servir, ils n’y arriveraient pas, car un pseudo ça se change !

Voir les commentaires

Publié le par marie chevalier
Publié dans : #défis croqueurs de mots

Doux rêve

Keira a seize ans. Grande, élancée, très brune, la peau mate, les cheveux longs et bouclés, elle est très belle. Elle somnole dans un transat sur son balcon dans un immeuble de la Défense.

Un logement ni triste ni gai, des parents ni gentils ni méchants, un frère infect qui veut tout gérer depuis qu’il a eu ses dix-huit ans et une petite sœur de six ans qui fait encore pipi au lit.

C’est dimanche. En bas dans la cour soudain des cris, des rires, des « youyous » s’élèvent et la réveillent. Elle se penche pour voir ce qui se passe et se souvient. C’est le mariage d’une petite copine de lycée, Fatima ! Toute la famille est là. Ils sont au moins une trentaine, qui s’embrassent se caressent les joues, se réjouissent de l’événement.

Chez Keira, on a oublié tout ça : les fêtes de famille, les mariages, on ne voit plus personne. Les parents ne pensent qu’à travailler pour amasser un petit pécule qui leur permettra d’aider le fils à s’installer à son compte en chauffeur de taxi.

La jeune fille bercée maintenant par la musique, les danses et les rires de ses voisins, s’endort.

Elle est « là-bas ». Un jeune homme l’attend beau comme un dieu, maître du désert dans son magnifique costume bleu. Il l’attrape et la fait voler sur son cheval. Ils chevauchent doucement et serrée contre sa poitrine, elle sent son odeur de soleil et de sable chaud. Le cheval, une beauté noire, s’arrête à quelques kilomètres.

Le jeune homme en descend, l’aide en lui prenant la main et la serre contre lui. Il la garde ainsi, longtemps. Elle ouvre enfin les yeux quand sa bouche se penche vers la sienne. Elle fond de bonheur. Tout est si calme si serein, il fait si beau, si chaud… elle se laisse faire quand il commence à passer ses doigts doucement sous son tee-shirt.

Elle est prête à s’abandonner, à se donner, là sur le sable du désert.

— Keira ! Je Sors faire des courses, occupe-toi de ta sœur au lieu de rêvasser et de sourire aux anges !

Ca y est, elle est maintenant bien réveillée, mais son rêve la poursuit. Pendant quelques minutes, elle était ailleurs, chez elle, « là-bas ». Quand elle sera majeure, elle partira, il le faut, elle le sent comme un besoin…

— Oui maman vas-y je m’occupe de tout !

Fin

Voir les commentaires

Publié le par marie chevalier
Publié dans : #défis croqueurs de mots

Défi 129 (croqueurs de mots)

Que les moins de vingt ans…

Pour le défi n°129 des CROQUEURS DE MOTS, nous choisissons dans nos photos anciennes (de vingt ans ou plus) celle que nous raconterons sur notre blog ou dont nous dirons pourquoi nous avons choisi celle-là ... Et pas une autre ...

J’ai treize ans

Je participe à une fête patronale

Dont le thème est l’Alsace

J’ai deux longues nattes

Que l’on pourrait croire postiche

Mais que nenni ce sont les miennes !

défi 129 (croqueurs de mots) que les moins de vingt ans

J’ai 14 ans.

Je participe à une fête patronale

Dont le thème est l’Espagne

Vêtues de robes en crépon,

Faites par nous-mêmes

Dans la salle « des jeunes » du village.

Nous allons danser le flamenco.

défi 129 (croqueurs de mots) que les moins de vingt ans

J’ai 15 ans

Je participe pour la dernière fois

A la fête patronale.

Dont le thème est « la caravelle »

Nous dansons et chantons

« Ma mie et ma caravelle »

défi 129 (croqueurs de mots) que les moins de vingt ans

J’ai 72 ans

Et je me souviens

De ces merveilleux instants

Où toutes et tous nous

Allions dans le même sens

S’amuser, se détendre et

Surtout …

Profiter de notre jeunesse.

défi 129 (croqueurs de mots) que les moins de vingt ans

Voir les commentaires

Publié le par marie chevalier
Publié dans : #défis croqueurs de mots

Défi 128 croqueurs de mots

Par magie... ou en réalité... vous avez... connu… aimé..
.Vous avez été le partenaire... le modèle. Vécu dans l'univers d'un homme (ou d'une femme) connu du siècle dernier. Ou de celui d'avant...Il ou elle était...poète...philosophe.... écrivain...cinéaste. Acteur peintre...politicien...ou...
Vous, vous étiez sa muse, sa femme, son ami, son médecin. Son mécène...
Nous serions curieux de connaître les sentiments qui vous unissaient
Amitié... amour... jalousie.....ou
ranur ?

Mon amie Arlette

J’ai eu le bonheur, en 1962, de rencontrer une grande figure de la révolution internationale, Arlette Laguiller.

En effet, j’ai eu la chance de travailler dans la même banque et dans le même service qu’elle, et nous fûmes du même combat : nous le sommes d’ailleurs toujours.

Elle était tout ce que tout militant aurait voulu être : simple, modeste, convaincue et oh ! Combien convaincante et efficace.

Elle démolissait toutes les objections, les propos racistes et luttait avec courage contre toutes les injustices. Nous avons été déléguées du personnel à la CGT.

Arlette était bien dans ses idées et, quand dans les réunions syndicales elle était interpellée sur ses divergences avec les « directives » du syndicat, ou sur ses activités politiques extérieures à l’établissement, elle restait ferme et expliquait son point de vue calmement.

Nous avons d’ailleurs quitté ce syndicat pour ces motifs, car même si mes amis et moi étions moins politisés qu’elle, nous n’admettions pas qu’elle soit rejetée et « virée » à cause de ses idées par un syndicat qui prônait la liberté d’expression ! D’ailleurs, c’est sans doute au nom de cette liberté qu’ils refusèrent de présenter sur leur liste Arlette en tant que déléguée du personnel aux prochaines élections. Cela a été la goutte d’eau qui a fait rendre leur carte à plusieurs syndiqués.

Après avoir en vain mais pendant plusieurs mois, essayé de faire reconnaître par toutes les instances notre propre syndicat, nous finirent par adhérer à FO.

Je suis très fière d’avoir été et surtout d’être encore, après tant d’années une amie d’Arlette. Bien sûr, et parfois je regrette sans doute, de ne pas l’avoir vraiment suivie dans son parcours politique, mais c’est tout simplement, parce que j'avais fait le choix de militer oui, mais ne pas s’investir à temps plein dans une activité, ce que, elle a fait. Je reconnais volontiers n’avoir jamais eu son courage et sa persévérance.

Une chose est certaine, si je n’avais pas connu cette camarade, si je n’avais pas eu en permanence cet exemple d’intégrité, de force morale, de courage et d’enthousiasme, je ne serais peut-être pas devenue une militante, de base certes, mais fidèle et convaincue.

C’est vrai aussi, que le temps aidant, elle a toujours voulu rester le plus près possible de ce qu’elle avait toujours souhaité : un monde meilleur, mais sans pleurnicheries, sans assistance, un monde où les gens sont dignes et debout.

C’est pour cela que je suis toujours de tout cœur avec elle, proche d’elle et que nous vieillissons ensemble en espérant toujours que ce monde va changer.

Voir les commentaires

Publié le par marie chevalier
Publié dans : #défis croqueurs de mots

Racontez une histoire en prose (de préférence) qui commence par :"j'ai trouvé dans ma bibliothèque" ou qui finisse par "je ne suis pas bibliothécaire" (ou les deux).

Publiez-la sur votre blog le Lundi 14 Juillet.

Evidemment tous les panachages et métissages sont autorisés à condition de coller de près ou de loin au thème "bibliothèque".

Doux souvenirs

J’ai trouvé dans ma bibliothèque une centaine de livres que je n’avais pas lus. Pourquoi me demandai-je en m’asseyant confortablement dans le vieux fauteuil de mon grand-père. Il aimait être là, devant ses livres qu’il regardait avec amour. Mais un jour sa vue baissa et il me demanda à moi qui n’était qu’une gamine de douze ans de bien vouloir lui faire la lecture. Je n’osai pas refusé mais je courus tout de suite le dire à ma mère en hurlant que c’était injuste, que mes vacances je ne voulais pas les passer avec un vieux et en plus dans une pièce qui sentait mauvais.

Elle essaya de m’expliquer que cette pièce était le refuge de mon grand-père depuis qu’il avait perdu sa femme et que je devrais avoir honte de parler ainsi. Elle ajouta que l’odeur était celle des vieux livres pleins d’histoires que je ne connaitrai jamais puisque je en voulais pas lire.

Alors cet été-là, je me suis forcée. Une heure par jour je venais m’assoir sur le petit coussin face à lui et je lisais. Au début cela me paraissait vraiment fastidieux mais au fur et à mesure, je commençais sérieusement à y prendre du plaisir. Et puis de voir son visage transformé, les yeux clos en train de m’écouter me flattait.
C’est ainsi que j’ai découvert la lecture et quand il est mort, j’ai repris tous ses livres et SON fauteui
l.

J’ai trente ans maintenant et j’éprouve toujours le même plaisir à venir m’assoir devant mes livres qui pour la plupart furent les siens, et quand je découvre comme aujourd’hui qu’une centaine de titres m’ont échappé, je suis heureuse. Le partage de cette joie avec mon aïeul me revient et je me surprends à lire tout haut … pour lui s’il m’écoute quelque part.

Voir les commentaires

Publié le par marie chevalier
Publié dans : #défis croqueurs de mots

grrrrrrr je m'étais trompée d'heure !

Vous visitez Le Louvre, c’est la fin de journée et fatigué (e)

Vous vous asseyez un moment sur un banc,

Devant le tableau de la Joconde qui vous interpelle…

Non, non vous ne tombez pas en syncope !

Comme vous êtes poli(e), la première surprise passée vous lui répondez…

Et de fil en aiguille la conversation s’engage…

Nous ne sommes pas curieux mais…en vers, en prose, sérieux ou avec humour

On est tout « ouïe »… pour lire vos échanges!

Que les fées de l’Inspiration soient avec vous !

C’est pas juste

Je suis assise devant le portait de la Joconde au Louvre. Je me repose un peu avant de rentrer chez moi. Le métro me tue.

Mais qu’a-t-on pu trouver de beau, de féminin à ce visage banal, lourd, ces cheveux si raides et ses yeux sans expression ? Son sourire ? Quel sourire ? On a plutôt l’impression qu’elle va nous dire une « vacherie » !

— Dites voir, Madame, de quel droit vous permettez-vous de me critiquer ? Est-ce que je vous dis, moi, que vos cheveux teints couleur ficelle sont sans éclat ?

Eberluée devant cette voix, je me levai d’un bond.

— Restez assise, vous êtes si grande et si maigre que je crains que vous ne vous cassiez, là, devant moi à vous pencher sur le tableau.

— Bon puisque vous le prenez sur ce ton, nous allons vider notre sac. Je suis peut-être grande et mince mais moi je peux vous affirmer que mes jambes ne sont pas vilaines, contrairement aux vôtres qui doivent sûrement être très laides puisque le peintre n’a pas tenu bon de nous les montrer :

— Vous me faites rire, je vous cerne bien : de belles jambes mais sous les cheveux une cervelle de moineau !

— Ma pauvre Joconde, puisqu’il faut vous appeler ainsi, tous les hommes qui vous regardent pâmés devant votre sourire n’ont qu’une pensée : vous voir en entier, voir justement vos seins et vos jambes !

—Vous êtes une véritable obsédée Madame, pour vous il n’y a que l’apparence du corps qui compte dans votre monde de femmes objets !

— Je ne vous permets pas ! D’autant plus que des bruits courent que vous seriez peut-être un homme ? Dans ce cas, je suis persuadée que comme eux tous, vous bavez devant mes seins gonflant mon corsage !

— Arrêtons là si vous le voulez bien, je n’aurais même pas dû commencer cette conversation de débiles.

Je me mis bien en face du tableau et la regardant dans les yeux, lui crachai mon venin :

— Vous êtes laide !

Et vous savez ce qu’elle m’a répondu ?

— J’ai une beauté intérieure qui vous manquera toujours et ça les milliers d’hommes qui m’ont regardée et qui me regardent encore l’ont deviné. Tandis que vous ma pauvre madame, à part deux ou trois hommes dans votre vie, aucun ne vous fait des compliments n’est-ce pas ? Je devine donc combien vous pouvez être jalouse !

A ce moment je me réveillai, bousculée par un gardien regardant sa montre :

— Ce n’est pas un dortoir ici Madame. Je vous prie de sortir.

Elle avait donc raison, tous les hommes, même ce gardien, s’occupent d’elle et la dorlote, la protège et la chouchoute ! C’est pas juste !!!

Voir les commentaires

Publié le par marie chevalier
Publié dans : #défis croqueurs de mots

" Plat du jour : Zeux à la coque "

Ecrivez un texte court comportant une majorité de mots commençant par "e, eu, oe..."

1)Menu

Entrées à volonté

Escargots de bourgogne

Emincés de poulet

Endives braisées

Œufs à la neige

Prix : 20 Euros (service En sus)

2)Effrontée

Emile Etait Eloquent mais Eléonore ne l’Ecoutait pas.

Un Etourneau s’Egosillait et l’Empêchait d’Entendre l’Enoncé :

« Envisagez-vous une Evasion »

Eléonore, tout s’Excusant Eclata de rire Et cria :

Je m’Evade ! Je rejoins l’Etourneau !

Eberlué Emile se tut.

Voir les commentaires

Publié le par marie chevalier
Publié dans : #défis croqueurs de mots

Défi n° 119 "PETITE ANNONCE"

CONSIGNE

Vous recherchez un employé, ouvrier, cadre, employé de maison.....ou

Vous recherchez l'âme soeur

Rédigez une annonce humoristique, insolite, poétique (en prose ou vers)

Et (si vous le souhaitez) la lettre de réponse à cette petite annonce.

Annonce numéro 2010

Jeune femme surbookée désirerait rencontrer une vieille dame disponible pour divers petits travaux ménagers. Il ne s’agit que de s’occuper du linge, de la cuisine, du ménage, de la garde de trois enfants et surtout que cette personne parle trois langues. L’éducation des enfants est très importante chez nous et mon mari tient absolument à ce que es fils sachent se déplacer dans tous les pays et surtout en Chine, en Irak et au Mexique. Ah encore une petite chose : tenue soignée exigée, cela va de soi. Ce n’est pas parce que nous habitons sur une péniche qu’il faut se négliger, n’est-ce pas ?

Réponse à l’annonce numéro 2010

Vieille dame de quatre- vingt dix ans, souhaite rencontrer rapidement la jeune femme de l’annonce 2010 qui correspond parfaitement à ses souhaits. Elle avait un jour envisagé de se laisser emporter par la faux, mais elle ne peut pas rater une si belle occasion de mourir simplement d’épuisement.

Voir les commentaires

Publié le par marie chevalier
Publié dans : #défis croqueurs de mots

Défi 118 «croqueurs de mots»

 

Ecrire CE Qu'on Veut en légende de la photo CHOISIE,
SELON Fils inspiration, en prose, en vers, en RÉCIT,
en dialogue la conversation ous,
ous faire concis, plus longue
(MAIS Pas PLUS D'juin Cinquantaine de lignes).

 

 

 La-mort-aux-trousses_HD_large.jpg

 

 

 

La Mort aux Trousses, 1959, tcmcinema.fr

 

- Il passe souvent des autocars par ici?

- Tous les jours MAIS là je l'ai raté.

- Portez Pas de Vous de chapeau Vous ne craignez Pas le soleil?

- Pas Vraiment MAIS Vous êtes habillé Comme versez enterrement non, le voyageur de j'espere Qué polo CE N'Est CELA Qui Vous par ce Chaleur?

- En Effet, mon vieux père Vient de mourir et je me rendais chez le notaire versez Regler non Problème de terrain. Maïs VOUS mêmes sans chapeau, vous etes Quand même endimanché non? 

- Certes, C'est Un peu Vrai. Je me Rends moi aussi chez l'ONU voiture de notaire lun.. ranch ex juin Hérité D'UN au Décès de fils père.

- Sans indiscrétion, il s'appelait Commentaire fils père?

- Artur lawson.

- Mon père aussi? 

- Quelle coïncidence, Vous Seriez l'ex de ma sœur, l'abruti qu'elle epouse non PARCE qu'elle etait enceinte de mon pote Johnny?

- Quoi? Maïs Pas du Tout, le bébé interest de moi!

- Ah ah! Elle vous à Bien ue, Elle Est experte versez faire avaler des couleuvres aux naïfs et rapide rapide avez l'air Vous D'UN Type de bien, C'EST CEUX qu'elles preferent Verser les arnaquer.

- Retirez Immédiatement CES PAROLES Sinon ...

- Sinon quoi? Mon pauvre ami Nous Sommes à 300 kms de la ville, VOUS ALLEZ Appeler la police La La!

- Vous la cause de AINSI ne Je. J'attendrai l'autocar De l'autre côté de la voie.

C'EST AINSI Qué l'sur retrouva, morts de soif et de faim, de CHAQUE Côte de la voie, hirsutes Deux de INDIVIDUS, méconnaissables, La Semaine suivante. ILS furent transportes par l'autocar MAIS Tous Deux périrent en chemin.

Voiture Pas de chance de les Horaires de voiture avaient Changé, il y en avait non par Semaine au lieu de un par jour. ILS ne le savaient Pas ...

 

 

 

Voir les commentaires

<< < 10 11 12 13 14 15 16 17 > >>

Articles récents

Hébergé par Overblog