LA TRISTESSE D’UNE ETOILE
Tu m'aimais du moins, je le crus
Jusqu’à ce que je te surprenne
Les yeux tournés vers le ciel
Indifférent à ma présence,
Attendant fébrilement
La tombée de la nuit.
Je compris que cette fois,
C’était fini,
L’amour de ma vie
Attendrait tous les jours
Son astre et ferait fi
De mes états d’âme
Et de ma tristesse.
Elle avait pris ma place !
Dommage, tu étais beau
Tu illuminais ma vie,
Tu me réchauffais
Je parle de toi mon soleil
Qui préfère ce soir,
A ma fragilité,
La lune toute ronde
Et joviale, et attirante
Le traitre !